• Femmes, si vous saviez !

    Bonjour à tous,
    Petite remarque sur un processus que je vois se développer de manière anarchique .

    Pourquoi les médecins gynécologues prescrivent la pilule pour des femmes qui ont de l’acné ? Je trouve le protocole médical moderne en contre-sens avec les signes cliniques. Pourquoi des filles de 16 doivent-elles prendre la pilule pour de l’acné ? (des petits boutons qui sont sortis à cause du « Kebab » de 12 h par exemple) Pourquoi ne pas manger mieux ou adopté une meilleur hygiène de vie en fonction de ses hormones et non parler de calories ?

    Une femme qui prend pendant 15 ans la pilule n’aura pas le même métabolisme d’une femme qui n’aura jamais pris la pilule.Les hormones que l’on vous donne,c’est environ entre 10 fois à 100 fois de production par rapport à vos hormones endogènes. Mais lorsque vous arrêtez vous n’avez pas de relance …vos ovaires sont à l’arrêt, un peu comme des légumes. Vous passez en sevrage !
    C’est un conseil préventif que je vous donne. Réfléchissez, vous n’êtes pas des moutons… Regardez vos voisins, collègues: sont-ils en bonne santé ?
    Ces mêmes personnes qui nous donnent des conseils réductionnistes !

    Petite histoire de la pilule:

    Tout débute par le chercheur et Dr Ellen Grant qui publie dans les années soixante des études incriminant la pilule. Elle synthétise dans son livre « The Bitter PIll » ses recherches montrant des doses toujours alarmantes. Des doses massives dans la pilule d’œstrogènes et de progestérone qui ont déclenché énormément d’effets secondaires : saignements, perturbations veineuses, thromboses , dépression, moins bonne lubrifications, prise de poids, rétention d’eau….
    C’est en 1974 que le Collège Royal britannique de médecin généralistes a montré plus de 60 états pathologiques suite à la prise de pilules (infections bactériennes…). Vous savez quoi ?

    Cette publication dans la presse a eu le feu vert…Autrement dit même avec ces conséquences irréversibles, la pilule était essentielle.
    Le chercheur Elise Grant découvre que les femmes qui prennent la pilule ont des migraines via un déséquilibre entre zinc /cuivre. C’est alors qu’avec un autre médecin, elle se rend compte que la pilule augmente les migraines de manière intensive et phasique. Si nous donnons la pilule aux animaux donc des doses de progestérones et d’œstrogènes, ils développent tous le cancer.
    A la fin des années 60, l’incidence des cancers du col de l’utérus ont augmenté de 6 fois chez les utilisatrices de la pilule. Et c’est une réalité car dans la littérature nous voyons que les femmes qui prennent la pilule ont plus de chance d’attraper un cancer du sein. Sauf que d’autres chercheurs se sont emparés de cette nouvelle et l’on déformé pour expliquer que les progestatifs pouvaient éviter les cancers des ovaires alors que d’autre se développent.
    C’est un peu le cas des TSH ou traitement hormonal substitutif qui sont très dangereux pour les femmes ménopausées ! (Un peu comme les produits laitiers, nous montrons qu’il est toxique mais d’autres montrent qu’il est bénéfique… un jeu sans fin …)

    Une étude randomisée américaine Women’s Health Initiative a été stoppée en 2002 car les femmes qui prenaient des hormones avaient une augmentation du cancer du sein et des MCV (maladies cardiovasculaires).
    En réalité et je reviendrais dessus, la prise de la pilule augmente les déséquilibres cuivre/ zinc et altère un antioxydant extrêmement puissant : la superoxyde dismutase. Un autre chercheur Mac Lauren- Howard a découvert des liaisons ADN contenant des produits d’oxydation et des métaux toxiques reliés aux femmes prenant la pilule, mais aussi chez les femmes présentant un cancer.
    La progestérone est plus puissante que l’œstrogène. Elle est immunosuprressive et double la transmission du VIH. Ce que je dis c’est des centaines de chercheurs qui l’ont expliqué. Immunosuppressive un peu comme les anti-TNFalpha pour certaines maladies auto-immunes qui suppriment le système immunitaire .
    Le DR Ellen Grant a signé 380 publications depuis 1962 présentant les dangers de la pilule.

    Pour vous donner une information, l’OMS a demandé une pilule à l’instant sauf que cette pilule n’a jamais vu le jour.
    Vous savez Pourquoi ?
    Car elle ne rapporte pas. Oui, en effet ! Aujourd’hui c’est environ 25.2 milliards de plaquettes vendues chaque année dans le monde plus de 200 millions de femmes prennent la pilule. Un profit colossal pour les laboratoires. Tout contraceptif hormonal est nocif, peu importe.

    Pour vous donner un ordre d’exemple, sur mes patientes qui on arrêté la pilule 12 ont eu des poussées d’acnés , 4 mois après l’arrêt de la pilule , elles n’avaient plus de règles .
    Les ovaires étaient à l’arrêt ou « endormis » Elles ont été stimulé pendant des années par des contraceptifs exogènes…Certaines ont attrapé des cancers, d’autres SOPK… alors que dans la famille (en remontant dans les générations plus anciennes), il n’y avait aucun signe de pathologie similaire !

    Par contre j’ai pu noté une perte de poids, meilleur libido, moins de changements d’humeur et pour certaines où j’ai pu effectué des tests , tout s’est amélioré au niveau sanguins….
    Le Dr Ellen Grant, chercheuse s’est fait attaqué par les laboratoires souffrant d’une excommunication scientifique !!

    J’ai tellement de chose à vous dire et à vous transmettre, nous sommes dans l’ignorance volontaire et dans un contre-sens infondé. Ce même contre-sens qui nous pousse de manière innée à faire des erreurs.

     

    (1) the bitter pill: how safe is the ‘perfect contraceptive’? DrEllen Grant

    Chlebowski RT, Hendrix SL, Langer RD, Stefanick ML, gass M, Lane D, Rodabough RJ, Gilligan MA, Cyr MC, Thomson CA, Khandekar J, Petrovitch H, Mctiernan A for the WHI investigators. Influence of estrogen plus progestin on breast cancer and mammography in healthy postmenopausal women. The women’s health initiative randomized trial. JAMA 2003; 289 : 3243-53.

    Rapp SR, Espeland MA, Shumaker SA for the WHIMS investigators Effect of Estrogen plus progestin on global cognitive function in postmenopausal women. JAMA 2003; 289: 2663-72.

    Shumaker SA, Legault C, Rapp SR, Thal L, Wallace RB, Ockene JK, Hendrix SL, Jones III BN, Assaf AR, Jackson RD, Kotchen JM, Wassertheil-Smoller S, Wactawski-Wende J for the WHIMS investigators. Estrogen plus progestin and the incidence of dementia and mild cognitive impairment in postmenopausal women. JAMA 2003; 289 : 2651-62.

    Hays J, Ockene JK, Brunner RL, Kotchen JM, Manson JE, Patterson RE, Aragaki AK, Shumaker SA, Brzyski RG, Lacroix AZ, Granek IA, Valanis BG, for the Women’s Health Initiative. Effects of Estrogen plus progestin on health-related quality of life. New Engl J Med 2003; 348 : 1839-54.

    Million women study collaborators. Breast cancer and hormone replacement therapyin the million women study. Lancet 2003; 362 : 419-27.

    Source : Professeur Henri Joyeux : Femmes si vous saviez !

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